Le spectacle au rendez-vous ? Ce tour est probablement l’un des pires qui ait été organisé. Pour une raison simple : les intérêts sont tellement grands désormais que plus un coureur ne prendra le risque d’une attaque au long cours sur un parcours de montagne.
Tout se joue désormais sur une ou deux étapes dans un affrontement sur 3 ou 4 kilomètres d’ascension. Lamentable.
Comment le public, en constatant cela et en sachant que tous les principaux protagonistes courent « chargés », peut-il encore s’intéresser à cette compétition ?
On est décidément bien loin des rivalités Merckx-Ocana. Les comptables ont désormais largement et définitivement pris le pas sur les romantiques !