Vous oubliez tout de même les deux journées sans oreillettes à venir. Et s’il n’y a pas d’attaques, c’est bien parce qu’une équipe est suffisamment forte pour impressionner tout le monde, sauf sur la deuxième étape des Pyrénées et l’offensive de Cadel Evans et d’Andy Schleck.
Je vous rappelle que nous ne savons toujours pas lequel des deux, voire même des quatre, Astana va s’imposer.
Certes, la semaine qui vient devrait être d’un intérêt limité, mis à part pour les Français, mais la troisième s’annonce grandiose.