Le CRIF et les autres associations juives qui demandaient, et ont obtenu, la tenue d’un procès d’appel au titre la lutte de la lutte contre l’antisémitisme mettent le doigt dans un engrenage absurde et contreproductif.
Car leur action, basée sur la négation d’un verdict pourtant équitable et rendu en tenant compte de la responsabilité relative de chacun, ne peut qu’engendrer des réactions de défiance vis à vis d’une prise de position totalement excessive et désagréablement communautariste.
Quant à Szpiner, l’ami du pouvoir, il n’a cessé de souffler sur les braises tout au long du procès, au mépris de la sérennité des débats. Un bien triste individu !