Les banques abusent du pouvoir politique pour deux raisons :
- elles ont convergées vers le statut du « too big too fail », trop gros pour sombrer ;
- elles se sont arrogées le rôle d’huile de l’économie via la monnaie d’endettement, le crédit ;
Si l’on souhaite y mettre fin, il y a deux alternatives :
- reconcentrer leur rôle au sein des états, mais c’est également transférer le problème, le laisser à la bonne ou mauvaise volonté des dirigeants ;
- ou sur l’autre échelle, granulariser ou individualiser(cf création monétaire lors du travail dans mon dernier article) où l’abus serait largement plus maitrisable, judiciable et la décision individualisé moins lourde à porter, de conséquences ;
Mais ni les politiques ni les banques ne souhaitent se laisser déshabiller de leur faire-pouvoir aussi facilement. Cependant, la démocratisation de privilèges est peut-être l’un des sens de l’histoire française, s’il en existe.