Plutôt pertinente, cette comparaison de Bayrou avec le provocateur Materazzi plutôt qu’avec Zidane, le coup de boule électoral l’ayant mis au tapis.
Quant à l’irascible Zidane, pas question de lui pardonner quoi que ce soit. Coutumier de ce genre de réaction, contrairement aux vrais grands joueurs que furent Platini ou Beckenbauer, il a définitivement terni son image à mes yeux et à ceux de la majorité des éducateurs dont j’ai fait partie et qui ont, à différents moments de sa carrière, été choqués de l’exemple négatif qu’il donnait.