Si la Suisse a réellement communiqué des noms (ce qui reste à confirmer), il s’agit de ceux dont les comptes sont supposés liés au « terrorisme » ou au blanchiment d’argent, puisque c’était son seul engagement.
Quelle empathie pour ces sympathiques petits poissons !
1 - Evidemment, vu le profil probable des « identifiés », cette action n’a rien à voir avec une quelconque moralisation. Il s’agit plutôt d’une action judiciaire.
2 - Faut-il ne pas poursuivre ces gens parce qu’il y en a d’autres plus gros qu’eux ? Qui va définir la taille minimale du poisson ? Selon quels critères ? L’auteur ? Bill Gates ?
3 - N’oublions pas d’applaudir, d’honorer et de financer ceux qui ne sont pas des fraudeurs, puisqu’au lieu d’exiler seulement leur argent, ils se sont eux même exilés en Suisse ou Monaco ou ...