Décidément, ce calamiteux personnage ne cesse de faire parler de lui, soit au travers de son livre autobiographique décrivant son inclination naturelle à aller abuser sexuellement de « gosses » et de « jeunes garçons » à l’occasions de ses fréquents voyages à l’étranger en vue de s’initier à la culture de la bonne chair touristique bon marché, soit dans la défense irréfléchie, mais instinctive d’un présumé pédophile violeur de gamine (13 ans) qui aurait enivré préalablement sa victime et lui aurait fait absorber un puissant narcotique, soit très récemment par la production d’un témoignage de moralité en qualité de Directeur d’une noble institution (Villa Médicis) destiné à un magistrat en charge d’un dossier criminel dans lequel son propre filleul (j’aurais dit sale) serait impliqué en raison d’un viol en réunion commis sur une mineure. Rien ne nous sera épargné avec ce genre d’énergumène qui passe son temps à soutenir des présumés violeurs d’enfants sans éprouver de considération pour les victimes et de leurs détresses. Le portefeuille Ministériel de la Culture est donc représenté par un agité du bocal à la sexualité totalement débridée et perverse qui se complait en toute quiétude dans l’assistanat des criminels sexuels, ayant en commun la jeunesse des victimes. Lui-même s’est adonné sans restriction, ni regret ou remords à la surconsommation pléthorique et charnelle de jeunes gamins (gosses) qu’il a ramassés à peine mûrs, tels des fruits tombés de l’arbre avant de se les mettre en bouche. Les édiles que nous avons mis au pavois et que nous méritons, vont encore se taper sur la main et siffler la fin de la partie en nous assurons que le sacré zozo farceur est un si beau parleur et brillantissime serviteur qui remplit avec sacerdoce et honneur ses fonctions et qu’il n’y a aucune raison légitime de se séparer d’un dandy raffiné dont le tort est d’avoir dévoilé sa vie privée, et qui, du reste ne vous regarde pas. Les crimes et autres abjections concernant les élites résultent de la vie privée qui relève que de leurs auteurs. Il n’y a d’ailleurs rien à redire de tout ça puisque le peuple bêlant n’y entend rien et que ses vaines vociférations ne changeront rien à l’affaire qui est déjà entendue. Circulez les badauds, il n’y a rien à voir. A ce titre, une loi non écrite dispose désormais que les crimes et délits commis par les citoyens d’en haut n’en sont pas et relèvent simplement du domaine de la vie privée et que les lois doivent s’appliquer rigoureusement contre la plèbe (dangereuse), notamment en matière de délits d’opinion. Le cas Dieudonné illustre parfaitement ce nouvel adage juridique qui fera jurisprudence.