L’ aboutissement à un geste ultime et froid de non-sens, résultat du règne des Ubu’s sévissant dans beaucoup de (grandes)entreprises, doit faire réfléchir à la partie immergée de l’iceberg : les vrais criminels qui menacent les personnes et les valeurs désoeuvrent en sous-main dans les comités de direction divers et variés et n’ont, par lacheté, souvent qu’un seul but : plaire au monarque de l’ entreprise pour garder les privilèges de cour.
Au nom de leur vanité et de leurs terreurs nocturnes, ces gens font vivre au quotidien l’expression de leur infâmie servile et génocidaires , créent un mur de désolidarisation dans lequel finissent, paradoxalement les défenseurs des valeurs humaines premières...