Citation de l’auteur à propos de cette image :
http://www.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L600xH359/091101Pentagon_-2-7bfc7.jpg
« François Grangier (expert auprès du bureau enquête accident (BEA) et la Cour d’Appel de Pau) doute quant à lui de la réalité de l’impact contre la façade et préfère envisager un impact par le toit, ce qui indirectement corroborerait la thèse du CIT. Notez que François Grangier connaissait parfaitement lors de votre rencontre les photographies de la façade montrant la ligne de toiture intacte. »
Un impact par le toit était ce que des terroristes auraient du faire pour deux raisons : la première c’était parce que c’était beaucoup moins difficile à réaliser en terme de difficulté de pilotage que de se donner comme un objectif de rentrer les ailes d’un Boeing 757 au premier des cinq étages du pentagone, à pratiquement 4m50 au dessus du sol à une vitesse de plus de 850 km/h , la deuxième c’est parce qu’avec un impact sur le toit les terroristes se donnaient une chance de tuer des hauts gradés du pentagone dont le secrétaire à la défense Donald Rumselfd.
Ensuite un autre comportement illogique de ces terroristes du vol 77 vient simplement du temps qu’ils ont pris pour attaquer le poste de pilotage. L’avion décolle de l’aéroport international de Washington-Dulles à 8 h 20, à peu de distance de la cible des terroristes, à savoir le pentagone. L’itinéraire normal de l’avion l’éloigne continuellementde cette cible que les terroristes ont officiellement choisie, cependant ils attendent officiellement plus d’une demi-heure avant d’attaquer le poste de pilotage.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_77_American_Airlines
La difficulté pour retrouver la cible à partir d’un point situé en haute altitude s’accroit en même temps que s’accroit la distance qui sépare l’avion de la cible. Ce n’est pas moi qui le dit mais des pilotes professionnels. Consulter les deux liens suivants :
http://www.prisonplanet.com/articles/february2006/210206impossibility.htm
http://www.historycommons.org/entity.jsp?entity=pan_am_international_flight_school
Citation du deuxième lien, moins connu que le premier mais disant à peu près la même chose :
« But the 767 and 757 have highly sophisticated ‘glass cockpits,’ featuring video screens and digital readouts, and requiring an advanced level of computer skills.” Furthermore, according to Steven Wallach, an aviation consultant and former airline captain, if the hijackers “took the controls at high altitude and a long distance from their targets, then they likely had considerable training in a 767 or 757 »
On peut être certain qu’Hani Hanjour dont le FBI n’a repéré aucun entrainement au pilotage d’un Boeing 757 avant le 11 septembre 2001, dont le seul entrainement avec connu pour un Boeing concerne un simulateur de vol de Boeing 737-200 qui fut peu convaincant (Voir mon premier message sur ce topic du forum de Reopen911) :
http://forum.reopen911.info/viewtopic.php?id=6424&p=1
n’aurait pas été capable de retrouver la cible à partir d’un point éloigné de plusieurs centaines de kilomètres de celle-ci. Admettons cependant qu’il ait été capable de le faire, comment pouvait-il être certain qu’il pourrait se balader avec un Boeing 757 pendant près de ¾ d’heures au-dessus du territoire américain sans être intercepté par un avion de chasse de l’armée américaine et percuter avec un avion commercial l’un des bâtiments les plus protégés du monde alors que deux de ses collègues terroristes avaient déjà fait un carton sur les tours jumelles et que les moyens de défense de l’armée la plus puissante du monde auraient normalement du être mobilsés pour sa recherche ?
Il est vrai qu’avant de heurter le pentagone vers 9h38, Hani Hanjour a officiellement coupé le transpondeur de l’avion à 8h56, mais ça le ne rendait invisible que pour les radars civils secondaires au sol, pas pour les moyens de détection et d’interception du NORAD composé de radars au sol, de radars aéroportés, d’un réseau de satellites et d’avions de chasse. Voir les liens suivants :
http://www.norad.mil/French/index.html
http://georgewashington.blogspot.com/2008/03/confirmed-911-planes-were-tracked-even.html
Donc en toute logique si le vol 77 avait été effectivement piraté des terroristes, ceux-ci auraient du se préoccuper d’attaquer le poste de pilotage dès le décollage de l’avion de l’aéroport international de Washington-Dulles pour avoir la moindre distance à parcourir vers leur cible, le pentagone.
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