J’invite les lecteurs d’Agoravox a bien comprendre l’évolution de cette affaire.
Primo. Du fait de ma constance et de mon opiniâtreté que mes adversaires ont sous-estimées et grâce à Agoravox et à ceux qui me soutiennent, je peux maintenant carrément parler de « scandale archéologique ». Cela me permet d’être de plus en plus présent sur le web à partir des mots-clefs Bibracte, Gergovie, etc... Ma stratégie est donc qu’on en parle, même si on m’insulte dans un certain nombre de blogs (où, d’ailleurs, on me refuse l’entrée).
Secundo. La stratégie de ceux qui se conduisent désormais en adversaires - cela a été leur choix et non le mien - est de ne pas en parler. En termes clairs, cela signifie qu’il s’agit d’étouffer le scandale. La deuxième intervention de Lucianusbeneditus auprès de Wikipedia montre bien qu’il a reçu des instructions dans ce sens. Il s’agit de faire un black out.
Tertio. J’ai toujours cru à l’internet, depuis toujours. La part prise par mon fils aîné dans sa naissance et son développement témoigne de cet intérêt. Agoravox, du fait de son concept, en est un prolongement intéressant. La réussite de mon entreprise sera aussi celle d’Agoravox. Que ceux qui sont attachés à cette fondation et à ce site le comprennent bien.