Bonjour l’auteur,
article intéressant, orienté mais intéressant, la force faible ou le lobbying des consommateurs en quelques sortes.
Ce qui me gène un peu avec ce concept, quand il va dans le sens de la liberté du consommateur face à un groupe, un industriel, une marque, je trouve ça plutôt sain mais quand cette force faible vient aider un industriel ou être manipulée ou crée par lui-même contre un de ces concurrents, cela peut devenir gênant.
Car au final cela parait assez simple (comme dans le cas d’Apple par exemple, quelle idée de consommateur d’aller défendre cette marque, Apple se serait très bien débrouillée seule mais bon, ils ont évité de dépenser pas mal de thunes en communication grâce à leurs gentils consommateurs à moins qu’il ait eux-mêmes initiés ce mouvement sur le web).
« Jadis, quand les sachants s’exprimaient, leur parole était d’or et éteignait la contestation »
Qui étaient ces « sachants » et quelle était leur légitimité ?
"Là est sans doute une clé de la réponse à apporter - par les élites,
par les marques - à ce phénomène des forces faibles : ne pas lutter
frontalement, ne pas apparaître au-dessus - et donc méprisant - mais à
côté... et donc en fait dedans et dehors à la fois.«
Pourquoi les élites et les marques devrait-elle chercher à y apporter une réponse ? le peuple et sa horde de consomm’acteurs est légitime, les élites et les industriels ne représentent que leurs intérêts propres et généralement financiers.
»Ce fameux soft power qui sait créer l’émotion, donc le désir, et qui est l’une des clés du succès du storytelling.« En fait tu »utilises le storytelling (ou communication narrative) afin d’aider les entreprises à vendre plus et mieux" des choses à des gens qui n’en ont pas forcément besoin mais on s’en fout, l’essentiel c’est de faire du chiffre et de manipuler les foules.
Oui aux forces faibles quand elles vont à l’encontre de la société de l’hyperconsommation et qu’elle pousse les gens à la réflexion et donc à la non-consommation de choses inutiles.