C’est « amusant », ces quotas de CO₂ m’ont toujours fait penser au principe des indulgences chez les catholiques. Tu pêches, tu payes. Et on pouvais même les revendre.
Ou « comment faire du neuf avec du vieux ».
Et le « principe de précaution » m’amuse aussi beaucoup : « mieux vaut pomper et qu’il ne se passe rien plutôt que de ne pas pomper et qu’il se passe quelque chose de pire ».
On peut rire de la devise Shadok mais pas du « principe de précaution ». Pourtant, j’aimerais bien que quelqu’un m’explique la différence sémiotique entre les deux. Je suis tout ouïe.
Encore du recyclé (et là, c’est presque du plagiat !)