le continent est très vulnérable face aux fluctuations du système économique dans lequel il évolue. L’Afrique n’a aucune maîtrise des phénomène mondiaux, c’est aussi elle qui est la plus exposée. Cette exposition explique que la pauvreté a encore des beaux jours en Afrique. Dans la majorité de cas, le problème de pauvreté ne se pose qu’en termes de la mauvaise gouvernance et du refus des gouvernants de redistribuer les revenus ; car dans le cas du Congo Brazza par exemple, mais c’est aussi le cas dans beaucoup des pays, l’écart est choquant entre le PNB/habitant et le revenu réel par habitant. Dans ce cas, la gabegie financière et les détournements des fonds publics sont les éléments explicatifs de la misère des peuples. C’est donc de façon globale qu’on dit que l’Afrique est pauvre. Il faut inclure, c’est où j’insiste, l’influence negative de la françafrique qui est fille du colonialisme lui même né sur les cendres de l’esclavagisme. Mais, au fond, il y a une réalité qui choque qui est endogène l’africain : l’aliénation subie ou volontaire dans tous les sens qu’on donne à ce mot.