Georges Yang s’est trouvé une occupation : la lutte obsessionnelle et névrotique contre tout ce qui vert, de près ou de loin. Dans le désoeuvrement, on existe comme on peut à moins qu’il s’agisse d’un vieux compte à régler personnel ? Allez savoir.
Alors depuis quelques mois, on imagine ses crises d’urticaire !
Son problème c’est qu’il n’a pas l’air de se rendre compte que ses articles sont tellement caricaturaux qu’ils frisent le ridicule.
En bon réac décomplexé, il déclarait, dans un précédent article, apprécier le véritable et traditionnel côté anti-écolo du Front national, c’est dire.