J’ai vu ce film, je n’ai qu’un mot : laid.
Laid sur le fond et laid sur la forme.
Ha, oui, ridicule aussi, et sale. Par exemple, le noir grassouillet censé mourir de faim, et qui, dans ce monde apocalyptique où il est seul et va probablement mourir sous peu, est tétanisé parce qu’il n’a plus de vêtements, non pas parce qu’il a froid mais parce qu’il a honte d’être nu, honte au point de ne plus pouvoir rien faire sinon utiliser ses deux mains pous cacher compulsivement son sexe. Et la caméra s’attarde incompréhensiblement sur cette image !
Bref, le film le plus affreux qu’il m’ait été donné de voir aussi loin que je me souvienne.