Non, bien sur.
Dans le roman, le père, qui se sait mourrant, garde la balle pour lui ou (c’est très elliptique), pour son fils ( pour l’achever, ce qu’il ne pourra faire, ou pour que le fils abrége ses souffrances lorsqu’il sera seul dans le froid, après sa mort).
Comme toujours dans la vie, ce n’est ni l’une ni l’autre situation qui se passera.
Il y a beaucoup de dignité elliptique dans le livre, sur ce sujet comme sur d’autres.