Il y a quelque chose qui m’échappe dans la démarche de l’auteur ?Il nous présente des séries de relevés de t° dans des stations connues,relevés sans discontinuités,sans apparemment de ruptures.Il est donc facile de tracer une courbe de ces t°.La recherche d’un signal quelconque dans ces mesures est sans objet:on a des données certaines.Tracer une courbe d’anomalies est une démarche trompeuse.
Pour ce qui est de la mesure des t° ,et la complexité de les ajuster dans le temps, et de prendre en compte les multiples facteurs pouvant affecter ce calcul,voyez cette intéressante discussion :
Cette méthode, généralement utilisée,peut conduire à des aberrations,comme démontré dans l’article.En limitant artificiellement le nombre de données par la sélection de points de références, dans lesquels on introduit fatalement un biais dont on ne connaît ni le signe ni l’ampleur, on risque de perdre le signal.Ne vaudrait-il pas mieux tenter de déterminer le signal à partir de toutes les données disponibles,dans le même esprit de la méthode utilisée par le moyen de proxis, sauf qu’en l’espèce ici, l’on connaît de façon certaine la relation t° /mesure ?