maldoror, merci d’avoir répondu.
Diable ! Je ne cherchais pas à décharger une quelconque condescendance. Donner des leçons en politique internationale, oh là ! non. Un simple avis, rien de plus. Mais je réalise le malentendu en me relisant.
Celà dit, corriger une erreur sur des faits et sur ma lecture de votre article, d’accord, recourir à l’agressivité en balançant, je n’en vois pas l’intérêt. Expliquer en quoi mes erreurs sont, à votre avis, totalement nuisibles à la compréhension du sujet me semble plus productif. J’accepte tout à fait d’être accusée de confusion concernant l’OTAN. Mais une fois les faits rétablis, j’ai la vague impression que nos regards sur cet engagement divergent de toutes façons, donc passons.
Pour en revenir à votre article, nous sommes d’accord sur les faits. Outre certains de vos propos introductifs (sur vos comparaisons société française - sociétés anglaise et allemande), c’est sur vos interprétations que je reste perplexe. Notamment celle que vous donnez dans votre réponse : « Je parle de Sarkozy, et de l’attachement à Israël qui lui est propre » , et « ...Sarkozy qui spontanément nous aligne sur la position israélienne. » , « Sarkozy, qui est derrière tout ceci, se comporte comme si l’hexagone se situait au Proche Orient. »
L’attachement personnel de Sarkozy à Israël est totalement annexe à
cette position à mon sens. Pour vous, il semble de prime importance. ... (à moins d’une
nouvelle erreur de lecture !)
Pour moi, l’affectif a bien peu à faire dans des stratégies politiques de cette envergure, où il s’agit avant tout de s’aligner avec les USA et la GB.