bonjour olivier
cela ne peut déboucher que sur je ne sais quoi mais rien de bon.c’est la planète qui est devenue insolvable et le G7 est appelé à s’effondrer ."
500 000 milliards de dette ; et alors. l’or limité toute progression du fait de la limite de sa quantité et du temps de circulation. nous l’avons par génie abandonné, ne laissant plus comme « limitateur » que la dette, mais si avec elle nous n’avons pas plus de génie, que d’émettre des critère comme ceux de Maastricht, nous reconduirons les blocages que constituait l’or.
que cela craque ne me génerait pas si nous n’étions pas dans la pensé unique et donc que le pouvoir qui en découle ne sera pas enclin à trouver des solutions différentes du système qui lui cause ses maux (c’est l’escalade), mais à l’opposé il n’y a aucune nouvelle pensé qui soit solidement construite, elle est disparate tintée des restes du mur de Berlin, écologisme qui s’en cherche une, de décroissance diverses, dont rien de fiable qui puisse être un repreneur.
il faut donc s’attendre si cela se produit a un désordre réprimé par le droit de la force donc un ,pas de plus vers un état dictatorial.
je suis et est toujours été un keynésien, c’est a mon sens la meilleure formule pour préserver le libéralisme, je serais tenté de dire que c’est l’intelligence du capitalisme, où ce capitalisme social que certain recherche je ne sais où en voulant le faire surgir de la cupidité ils rêvent. le retour momentané au keynésiennisme est un moyen pour aller vers mieux qui reste à définir, car notre organisation financière est devenu un carcan.
je te joins une copie d’un article qui est en modération. bonne lecture puisque le temps ne se prête pas a la ballade
Dans cette « crise » qui frappe la Grèce, les « libéraux capitaliste » (ne pas confondre avec le libéralisme) se ruent comme un seul homme sur cet Etat, grâce à l’aubaine du gouvernement précédant qui avait maquillé le montant de la dette. J’ignore si c’est exact ou non, mais là n’est pas le problème.
Ce qui me gêne à l’entournure c’est cette curée médiatique qui se fait autour de la Grèce, tous d’accord, d’accord pour montrer le mouton noir qui risque de gripper l’Euro.
Sincèrement cela serait le comble que le pays symbole du développement de la pensé humaine reviennent justement à ceux qui n’en ont pas.
Alors parfois je me dis que les français ou les élites françaises ou les faiseurs d’opinions ou les polémistes tous ceux qui se nourrissent d’immédiatetés mourrons un jour sans voir et reconnaître ce qui les emportes.
Les critères de Maastricht, sont ceux qui on été établi en 1992, et constituent un carcan, chacun comprend bien son utilité, on se le place autour du cou et si l’on grossit l’on meurt.
Or quand un État voit ses sources de richesses s’externaliser et sa population croître, il ne lui reste que la dette mortelle.
Si nous nous fions au marché, pour vivre il nous faudra avoir des exigences qui s’alignent sur celles des pays émergeants ou délocaliser comme Philips.
C’est ce que la BCE appelle avoir du courage. Nous sommes toujours dans le politiquement correct, et ce n’est pas faux en soit pour régresser il faut avoir le courage des ânes.
J’avais un voisin qui labourait avec un âne, et il trouvait qu’il lui revenait trop cher, l’avoine l’eau, les litières etc. jours à prés jours il réduisit sa nourriture, l’eau, sa litière, et l’âne travaillait toujours, puis un jour il ne lui donna plus rien, et l’âne travaillait toujours. Alors tout fier il arrangea ses voisins qui se plaignaient de sa cupidité envers cet animal : je vous l’avais bien dit qu’un âne arrivait à travailler sans se nourrir et sans se plaindre.
Le dimanche suivant en 15 je l’aperçus qui revenait du marché avec un autre âne, curieux je l’interrogeais, tu t’équipes ? Non je remplace mon âne qui est mort, c’est bête juste au moment où il s’y habituait.
Également l’endettement grossit du seul fait des exonérations fiscales de toutes sortes réduisent le budget de l’état.
Mais ce qui me parait ressembler à une amnésie collective, c’est qu’en 2008 durant la crise financière, avant la quelle les « officines » de notation encensaient ceux qui allaient propager, elles ont eu besoin des états pour émettre de la dette (qu’ils allait financer aussi) afin de les crédibiliser.
Durant cette période je n’est pas ouï les marchés se plaindre, je ne les ai pas entendu dire qu’il fallait s’en tenir aux accord de Maastricht, et là subitement la dette de la Grèce serait insoutenable, voire mettrait l’UE en danger. Mais jusqu’à quand nous allons tenir ces discours fallacieux sans qu’une protestation s’élève.
Nous avons la mémoire si courte que nous ne nous souvenons plus de ce qui c’est passé il y a même pas deux ans ou bien nous laissons-nous laver le cerveau.
Parfois pour se faire une idée des choses il faut raisonner par une aporie (par l’absurde).
Les critères de Maastricht son quasi inamovible puisqu’ils sont l’objet d’un traité et pour les invalider il faut se retirer de l’UE, (ce qui arrivera si nous ne les modifions pas, ou si nous ne changeons pas de politique financières). Ceci étant précisé, ce sont 3% du budget, 60% du pib, et 1.5 d’inflation.
Imaginons maintenant qu’une météorite menace la planète de destruction, et que pour s’en protéger il faille construire un gigantesque vaisseau qui demande d’après l’étude des économistes et techniciens de l’ONU 100 000 milliards de dollar.
Nous disposons de la main d’œuvre, des techniques et des matériaux, mais voila comment le financer puisque cette masse se monnaie n’existe pas, et bien nous ferons comme les dinosaures nous mourrons.
Nous mourrons parce que les financiers expliqueront qu’ils n’ont pas assez de monnaie disponible à prêter et qu’il n’y a trop de risques de remboursement des intérêts qui ne peuvent être envisageable à cette échelle.
En conclusion cela rend impossible la construction de ce vaisseau parce qu’il n’est pas rentable.
Ils est donc bien difficile de se libérer l’esprit d’une prison imaginaire quand celle –ci s’identifie à la fonction du dominant,
J’espère avoir été divertissant avec cette aporie, mais la météorite en réalité nous connaissons son nom : Pollution.
Mais pour la Grèce, boff je ne sais pas si cela vaut le coup de la sauver, peut-être en faire un muser de l’histoire de la pensé puisque l’on ne sen sert plus trop aujourd’hui.
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