Bonjour, Olivier.
Excellent article qui pose bien le problème de la restauration actuelle.
A un détail près qui n’est pas développé dans l’article (sauf erreur de ma part) : ce n’est pas le surgelé qui doit être mis en cause, mais le surgelé industriel. Dans de nombreux petits établissements, ruraux notamment, il n’est pas facile d’ajuster la matière première à une demande aléatoire. C’est pourquoi, sans renoncer à ce qui fait leur métier, certains cuisiniers préparent à l’avance des plats qu’ils surgèlent pour pouvoir offrir à leur clientèle un choix plus large fait de plats frais et de plats surgelés dont la saveur n’est pas remise en cause et dont je défie la plupart des consommateurs de pouvoir faire la différence.