Voilà un bel exemple de ce que peut être le journalisme citoyen.
Gratter sous la couche fraiche du fait divers pour y découvrir ce qui en fait sa réalité :
S’attarder sur la violence de telle ou telle personne n’a aucun intérêt. On ne peut que déplorer que l’être humain agisse comme un animal. Par contre, il est permis de se révolter contre un système social, politique et judiciaire, qui est censé, lui, être civilisé, et qui n’est plus en mesure d’assurer la protection du plus faible.
A quoi donc cela sert-il de vivre en société si, à la fin, la raison du plus fort l’emporte ?
Sur les murs des commissariats, j’écris ton nom, mais en vain : Fraternité.