Merci pour cet article Fergus.
Je trouve les parallèles judiciaires très symptomatiques pas les temps qui courent.
On ne craint plus de menotter des gamins, de les incarcérer pour un ticket de bus ou pour une gifle, quand un délinquant notoirement violent peut, à sa guise et malgré son état sursitaire, peut vaquer à toutes les dérives criminelles.
Il n’est plus nécessaire de démontrer que cette politique du chiffre est une catastrophe sociale qui va malheureusement empirer jusqu’en 2012. Ce sombre avenir pose une sérieuse question sur l’état de notre système démocratique et sur comment se débarrasser de l’incompétence meurtrière.
Ne faudra-t-il pas faire le décompte des cadavres à l’issue de ce quinquennat tragique, entre l’ Afghanistan, les suicides en entreprises, en prison, les victimes de Besson, les accidents de l’arbitraire policier etc ?