On s’aperçoit, un peu tard, que les préceptes de l’Islam, qui sont nés dans une société moyenâgeuse qui a très peu évolué depuis sa fondation, ne sont pas transposables dans une société développée et démocratique.
D’ailleurs l’Islam ne prospère aujourd’hui que dans des sociétés peu évoluées et parfaitement antidémocratiques.
Serait-il possible d’appliquer la Sharia en France ?
Certainement pas, car la Sharia n’est pas compatible avec le Code Civil. La lapidation des femmes adultères, l’infériorité juridique des femmes, la polygamie, la lapidation ne sont pas transposables en France, car ces quelques exemples de pratiques sociales sont contraires à nos lois et à notre constitution.
Et nous allons pouvoir allonger la liste de ces incompatibilité majeures tous les jours !
Les tabous alimentaires, les coutumes de discrimination vestimentaires, sont tout aussi incompatibles avec le droit.
Alors que faire ?
Il va devenir inéluctable de poser le problème honnêtement aux musulmans qui prétendent s’installer en France, dans la mesure ou la vie dans notre pays implique l’acceptation de nos lois. Car il ne peut y avoir deux codes de lois applicables dans notre pays selon que l’on soit musulman ou qu’on ne soit pas.
Comme ceci ne manquera pas de causer des difficultés à nombre d’entre eux, il va falloir, à titre de précaution, limiter l’octroi des permis de séjour, des visa d’entrée et revoir les conditions d’octroi de la nationalité française pour tous ceux qui ont des difficultés d’intégration dans notre pays du fait de leur pratiques culturelles d’origine.
Il y a tout simplement des populations qui ont des capacités d’intégration supérieure à d’autres, comme on peut le constater tous les jours et comme on le constatera chaque jour davantage, à la faveur des incidents qui ne manqueront pas de se renouveler dans le futur.
Nous sommes dans une processus cumulatif et dont l’issue ne fait désormais guère de doute : un divorce à l’amiable qui vaudra mieux qu’une vie commune impossible à organiser.