Il faut toujours dissocier l’amalgame soigneusement entretenu, par les politiques et leurs suppôts, entre les causes et les effets. Si le réchauffement par lui-même n’est pas contesté (même si la tendance pourrait s’inverser), au moins sur certaines parties du globe et sur une période déterminée, le lavage de cerveaux a été tel, ces dernières années, que ledit réchauffement est immédiatement présenté sous forme de mauvaise conscience implicite, comme quoi l’homme en serait à l’origine, ce qui est pour le moins contestable, voire faux si l’on étudie les corrélation climat/activité solaire depuis le minimum de Maunder.
Qu’il y ait eu fraude ou non sur le relevé des températures et les modèles annonçant x °C d’ici 2050 ou 2100 change peu à l’affaire. Certes l’escroquerie constatée n’arrange en rien l’image d’une certaine science, celle en collusion avec les petites affaires politiques. Mais il faudra bien arrêter un jour de faire la correspondance médiatico-mécanique entre réchauffement et cause humaine. Revoir les modèles, et réétudier sérieusement l’influence solaire. Le climat s’est également réchauffé sur Mars, qu’on ne l’oublie pas.