Et ne parlons pas de la loi TEPA qui réduit drastiquement les revenus de la SS... ni des multiples exonérations de cotisations dont l’état ne restitue jamais le compensatoire... ni de l’hopital privé qui est un goufre sans fin comme son alter ego la médecine spécialisée.
En deux mots, l’état participe à 100% à la casse de la SS, mais est-ce étonnant quand on sait qui est sans cesse privilégié par ces bandits qui ne voient que l’emploi doré en fin de mandat