@ Matthieu Martin
Je dis oui à la différence à condition qu’elle n’emmerde personne. Si
les religieux s’obstinent à faire étalage de leur spiritualité en multipliant généreusement les mètres carré de tissu...macabres et inquiétants, ils se préparent des journées difficiles.
Une fois pour toute, les religions doivent prendre le parti de
l’intemporel, en laissant de côté la provocation en ne mélangeant pas
les genres et en respectant la majorité de la société civile.
La relation au sacré, voir au divin, est une affaire profonde, secrète,
personnelle et infiniment respectable. Son authenticité est
proportionnelle à sa grande discrétion.
J’en déduis que nous avons affaire à des manifestations trop tapageuses pour être sincères.
Ce qui est vrai, c’est que quelque part dans leur visage masqués des
politiciens de l’âge de pierre se frottent les mains de voir le joli
bordel, visible et invisible, qu’ils provoquent chez les occidentaux.
Ils ont un sérieux avantage sur nous les salopards, ils trouvent encore
des misérables pour se faire exploser partout où la vie se passerait de
leur paranoïa galopante.
Le monde occidental a suffisamment de problème sans ingérer ce poison antédiluvien.
Depuis un demi siècle, les judéo-chrétiens sont devenus raisonnables,
maintenant l’islam fait à son tour des rêves de conquête, et tous les
moyens sont bons, le charme, la violence feutrée ou manifeste, la
drogue, surtout la drogue, ça c’est l’arme fatale.
Je réalise que je manque d’objectivité car les tibétains me sont
sympathiques dans leur drapé rouge et or, c’est peut être une affaire
de gout. C’est à dire qu’il me parle de lumière. ( un chinois ne
partagerait pas mon avis )
La burqa suggère la mort et son symbole caché me rend agressif...je n’aime pas ce qui s’impose à moi !