S’il fallait être choqué à chaque fois que la SNCF fait grève, il faudrait passer sa vie en soin intensif.
Il faut savoir que, à la SNCF, on a une drôle d’idée de la concurrence : les syndicats aimeraient bien que la concurrence soit contrainte d’accorder à ses salariés le même avantages que les premiers. Par générosité, ou pour se sentir moins seul, peut-être.
Mais bon, la gauche applaudit. Ceux là, les syndicats leur chieraient sur la tête, ils trouveraient ça bien.
De toute façon, faut être con, ou riche, pour prendre le train.