Belle analyse de l’auteur. Une de plus ...
Les Etats et leurs citoyens ont le choix entre la Peste et le Choléra. Soutenir les pays « défaillants » et paupériser leur population, surtout les « classes moyennes » dernières à payer l’impot, ou bien ne rien faire et subir un « effet domino », étant attaqués les uns après les autres.
Le piège est bien tendu par le système financier et il n’y a guère de bonne manière d’y échapper. Disparition ou diminution des aides sociales, accélération des privatisations, chomage en forte augmentation, paupérisation de 95% d’entre nous ... en seront les conséquences tragiques.
On peut cependant envisager comme autre solution le fait que les Etats annoncent leur faillite et ne plus rembourser leurs dettes, afin d’échapper à ce piège. Après une période chaotique, de nouvelles valeurs, une nouvelle société, pourraient s’imposer.
Souci, les dirigeants politiques sont aux ordres et totalement dépendants du « pouvoir économique ».
Ils ne feront donc rien pour les contrecarrer.
Exprimé autrement, les « élites » ont entrepris leur « combat final » qui vise à la mainmise sur les richesses de la planète.