Cette vison des marchés en forme d’image d’epinal est réjouissante dans sa naïveté, quand on voit Goldman Sachs qui vend des subprimes de la main droite et spécule sur les défauts de paiment de la main gauche, défauts qu’il a lui-même grandement contribué à engendrer.
Bref, c’était amusant à lire, on se serait cru un premier avril !