Quand
Guy Bedos dit avec le sérieux de ses pensées profondes :
"Ce
qui m’emmerde chez Dieudonné, c’est pas son côté Camerounais,
c’est son côté Normand"
Ça
ne soulève aucune vague, l’élite antiraciste ne bronche pas.
Quand
on voit que Libération censure un article et se fond en excuses (hier) pour
un article sur l’équipe de foot d’Algérie au Mondial, on a une idée
de l’état de délabrement de l’élite journalistique dite de gauche
qui nous donne des leçons sur le racisme et la liberté
d’expression.
En France, il est plus facile « d’enculer Sarkozy » que de faire des portraits d’humeur des joueurs algériens.
Les Français, eux , n’ont pas droit aux excuses.