Non, je parle de ces affaires politiques, qu’elles touchent des hommes de droite ou de gauche, qui abreuvent les tendances voyeuristes de quelques désoeuvrés mais n’apportent rien au débat de fond qui nous préoccupe aujourd’hui, le financement de nos systèmes sociaux.
Des chaussures de Dumas à la vie professionnelle de Woerth, il ne s’agit au mieux que de divertissement pour des idiots.
Notre vie politique manque sérieusement de maturité. Quelle vacuité en regard des enjeux que nous avons à relever.