Le FMI est fidèle à sa logique néolibérale.
Condamnation de l’impôt, rejet de la redistribution corrective, diabolisation de l’Etat, anathémisation des biens et services publics, promotion des multinationales au bénéfice de quelques heureux actionnaires qui se partageront les dividendes. Les autres se débrouilleront avec leurs salaires de chinois.
«
Le néolibéralisme n’a rien a envier au stalinisme ou au fascisme. C’est une perversion de la pensée humaine ». Ce n’est pas moi qui le dit, c’est un certain
Jacques Chirac.