Non mais Grenoble c’est pas un champ de guerre non plus. On peut sortir faire ses courses et aller en ville.
Ok, on a quelques quartiers bourrés d’intellectuels (villeneuve, mistral, abbaye entre autres... la capuche est aussi passée de ce côté je pense), quelques zones à risque aux alentours de certains arrêts de tram (genre le terminus de carrefour échirolles ou chavant).
Vous avez quelques génies dans les différents immeubles de l’agglomération (à sassenage par exemple).
Mais la vérité c’est qu’on a toujours eu des « à mort les keufs » inscrits sur des murs, écrits par des ados en soif de révolte, à l’instar des « fuck la police », des insultes au pouvoir, etc.
J’ai parlé ce weekend au gardien de mon immeuble du nord de grenoble, il m’a dit que les semaines étaient assez calmes, bien que le comportement de « certains » (vous savez très bien de quelles ethnies on parle) était discutable au quotidien, avec son lot de menaces ou insultes.
Donc c’est pas la guerre, c’est pas la zone. Par contre, le quotidien devient de plus en plus malsain, et ces actes de violence sont un simple symptôme d’un cancer qui nous ronge. Quel cancer ? Politique discutable, mentalités tordues...
Les faits divers à Grenoble, ouais, sans plus. La situation générale est plus inquiétante.