L’article, si on peut l’appeler ainsi, ne dit rien de plus que de vagues probabilités, il n’y a aucun apport sérieux, Jules se contente de dire qu’un marqueur génétique serait (et il faudrait voir le sérieux de la source) peu fréquent chez les Européens chrétiens, et aussitôt, on passe sans transition à la thèse d’un Hitler juif.