À Compiègne, je ne sais pas...
Mais à Paris, il reste quand même quelques présomptions à l’encontre d’Éric Woerth.
Même s’il finissait par être établi, par une confrontation entre Liliane Bettencourt, Éric Woerth et de Maistre, que Woerth n’aurait jamais empoché que des chèques remis à l’UMP (et traçables dans sa comptabilité), Woerth traîne d’autres gamelles.
Et dans cette affaire, il appartenait à Woerth de saisir le procureur de la République pour faire en sorte que l’abus cesse, non ?