En tout cas,personnellement,je ne pistonnerais pas quelqu’un que « je ne connais pas » (dans les deux sens du mot !!)
Car si je ne le connais pas (au sens premier,c’est à dire que j’ignore son existence) ,comment pourrais je etre amené à le pistonner ?
Et si je ne le connais pas (au sens figuré,c’est à dire si j’ignore ses compétences et ses « orientations ») ,ce serait prendre un grand risque de retour de baton que de le pistonner
Donc votre ligne de défense de Woerth au motif du double sens de ’je le connais pas" ne tient pas un instant
Au fait,défendre ainsi l’indéfendable vous rapporte t’il quelquechose ?
(auquel cas je peux comprendre)
Sinon,c’est alors pathologique,et ça doit etre traité
Bonjour chez vous