En tant que psychiatre (non expert), j’attends effectivement toujours la littérature scientifique qui attesterait de l’utilité et de la pertinence des expertises psychologiques et psychiatriques censées évaluer le risque de récidive.
Par contre je ne suis pas d’accord avec votre conclusion, ni celle de l’auteur, qui me paraît une pente glissante vers l’enfermement définitif de tous les « déviants » « au cas où ». Avec cette logique on ne laisse plus sortir personne de prison (violeurs, voleurs, agresseurs...) puisque statistiquement ils sont tous à risque de récidive.