Le Suaire de Turin est un exemple du principal problème entre science et religion.
Les techniques de datation fonctionnent tant que les résultats ne les
gênent pas, mais dès qu’elles remettent en cause ce qu’ils croient, il faut absolument pointer une erreur. Si c’était pas la datation au carbone 40, ce serait autre chose, on peut toujours dire « oui, mais... », n’est-ce pas ?