A observer de près toutes les religions et croyances, il n’y a pas une seule qui ne prétende pas détenir la vérité et toute la samal de preuves qui suivent.
Les judaistes ont des preuves, les chrétiens ont des preuves, les musulmans O combien de preuves, les animistes aussi, les boudhistes n’en parlons pas, enfin si, les mazdéistes pareil .Il est normal de constater dans chaque croyance ce genre de« prétendues-preuves » dans lesquelles les croyants se concilient avec leur croyance, et grâce auxquelles les croyances trouvent un sens et une raison d’exister et de se perpetuer. la classique quoi:un système composé de parties qui le structure et les parties trouvent leurs sens dans cet ensemble qui est le système.
Ce n’est quand on commence à tout mélanger que les problèmes surgissent. L’exemple de la science comme outil au service de certaines questions qui la dépassent ; or, ces derniers relèvent plutôt des sciences futuristes dont on n’a pas encore les moyens de remonter le temps et d’expliquer les faits qui se sont produits naguère.On met la science d’aujourd’hui au service des « croyances » et si elle échoue, c’est les croyances qui l’emportent.Or, bien qu’il soit un véritable fait historique, cela peut porter en lui l’histoire d’un phénomène qui n’a rien à voir ni avec Jésus ni avec Shiva, mais paradoxalement le scientifique qui,lui, dépend, épistémologiquement parlant, de ses croyances subjectives, faute de motivation d’aller loin dans ses recherches, peut orienter les études à sa guise et selon son orientation et ses convictions religieuse, une chose qui peut aboutir à des résultats qui confortent sa croyance, ses convictions, sa religion, son idéologie. Cela peut aller dans le sens de l’« effet pygmalion » dont parle la psychologie : les résultats s’améliorent du simple fait que le professeur attend davantage d’eux.
On peut croire que ce truc est réel, mais je ne crois pas que cela ait un rapport avec Dieu ni d’ailleurs avec Janus et compagnie.
La science n’est pas encore adulte, elle souffre encore de ses sentiments, de ses ressentis, et elle n’est pas encore vraiment neutre.Dommage, la route est longue !
Allez, croyez, vous êtes photographiés