Bien sûr, , comme vous le dites, il s’agit avant tout de « faire flipper les gens ».
Plus ils sont dans un état anxiogène à propos de tout et de rien, plus ils sont manipulables et incapables de s’intéresser aux vrais problèmes.
Le « Principe de précaution » dont on nous rebat les oreilles finit par transformer les citoyens en une masse d’assistés dépourvus de bon sens, d’initiative et de tout sens de l’observation.
J’ai vu , par exemple, un reportage d’au moins deux minutes sur une maman accompagnant à pied ses enfants à l’école sur des trottoirs enneigés ; il fallait écouter les commentaires ! c’était quasi
l’escalade de l’Everest ! Ces « pauvres petits » paraissaient risquer leur vie à chaque pas.
Dans les années soixante, beaucoup d’enfants cheminaient chaque jour dans la neige sur plusieurs kilomètres. Et les équipements n’étaient pas ceux de maintenant ! beaucoup, sous leur pull, portaient des feuilles de journal, isolant excellent.
Quand les routes sont impraticables, est-il indispensable d’aller au travail ? (excepté bien sûr pour certaines professions).
Tout est bon pour faire peur ; pendant que la crainte occupe l’esprit des êtres humains, ils ne pensent à rien d’autre et surtout pas à revendiquer.
Le « rêve » de nos dirigeants ? Un peuple de pleutres et de lâches !