Je ne trouve pas que le titre se justifie même si l’église reconnaît elle même ses errances. En effet, sans elle et ses 2000 ans d’action fervente, parlerions nous encore d’un homme nommé Jésus en 2010 ? Chercherions nous à comprendre, à connaître, à vivre, à perpétuer, à partager l’évangile ?