Bien sûr, ils reconnaissent à 55% que cette mondialisation leur est
bénéfique en tant que consommateurs de produits manufacturés à bas
coûts, mais ils estiment en somme que les inconvénients l’emportent
largement sur les bénéfices.
Déjà sur ce point, si les français sont bêtes à ce point, c’est désespérant.
Les délocalisations en Chine n’ont pas engendré des prix plus faibles au consommateurs, mais des marges plus importantes pour les entreprises et les actionnaires, tous en cassant le tissus de production d’un pays comme la france, engendrant encore plus de pauvreté, précarité et soi disant justification de prix bas.
Au début du siècle, un américain intelligent (ça existe parfois) avait imaginé payer suffisament ses employés pour qu’ils puissent acheter les automobiles qu’ils produisaient.
il y a longtemps que cette idée à déserter les cerveaux occidentaux.
il est vrai, que compte tenu du postulat imaginé par cet article, il est inutile de s’interroger sur les capacités de nos concitoyens, si cela devenait autre chose que de la politique fiction.