« Cette thèse est démentie par toutes les églises chrétiennes qu’elles soient orthodoxe, arménienne, copte, romaine ou autre. »
On aurait pu aussi ajouter : par tout les historiens et les spécialistes de l’antiquité.
En fait il y a d’un côté les mensonges des vilaines Églises et de l’autre les amateurs de mystères divers, qui, en chevaliers modernes, viennent pourfendre tout ce qui a été trop longtemps caché. Qu’importe la scientificité des thèses, qu’importe la compréhension des mentalités de l’époque, qu’importe le regard critiques aux sources, qu’importe l’objectivité, tant que ça sert l’idée, c’est bon.
Mais bon, j’aurais appris au moins que le français n’était pas une langue latine et que ces messieurs de l’Académie étaient de bien piètres étymologistes pour oser prétendre que dimanche venait de dies dominicus par le français ancien diemenche