Ce qui est assez hallucinant, c’est qu’il y a encore entre 46 et 49% des italiens qui on voté pour Polichinelle. Et qui sont donc autant de « coglione » visiblement, qui en redemandent.
Quelles sont donc les limites de la bêtise humaine qui pourraient nous permettre de cerner à peu près le stade de nullité, de populisme, de prévarication et de vulgarité à ne pas franchir pour ne pas se prendre une tôle à des élections en terre de démocratie occidentale (cf Bush, Chirac, et à présent, dans une moindre mesure, Berlusconi) ?