@ l’auteur : Mais quelle est cette intervention indigeste ?
Ce paquebot de considérations alors qu’on peut simplement analyser la phrase de Zemmour par 3 questions :
_ Qui a parqué les immigrés dans les cités et banlieues ?
_ A la place de stigmatiser, quel politique français oeuvre pour cesser d’offrir des allégements fiscaux aux classes aisées, et combattre effectivement le chômage des populations issues de l’immigration ?
_ Enfin, et j’en meurs de rire rien qu’en y pensant : au fait, qui consomme l’herbe et la drogue vendues par les petits criminels rebeus et noirs ?
Qu’est-ce qu’on parie que si on fait une descente à Neuilly, Monceau, dans le Marais ou encore dans les milieux artistiques (un petit tour chez les représentants du PAF, tiens), il ne se trouverait pas un seul ’blanc’ clean ?
Votre mauvaise foi n’a d’égal que l’ampleur de vos préjugés racistes (obscurantistes ?). Votre mauvaise foi n’est malheureusment pas si difficile à percer...
La phrase de Zemmour ne tient pas de la liberté d’expression mais bien d’une démagogie zélée et sournoise.
A l’approche de 2012, ce pitre du Roi et de sa cour installe insidieusement une ambiance nauséabonde sur les thèmes de l’immigration, l’insécurité et de la peur de l’Autre, l’Etranger ou le Français anti-Astérix. Bouhhhh... Pour mieux faire oublier les echecs politiques cuisants de son maître !
Remballez donc votre comparaison de Zemmour à Dreyfus !
De près ou de loin, cette comparaison s’écroule, pour la simple et bonne raison que Zemmour à le charisme d’une hyène combiné à la moralité d’un vautour.