Bonjour Romios,
vous êtes bien rare ! votre article fait froid dans le dos.
Il fallait une sacrée dose de folie pour construire des centrales nucléaires aussi dangereuses en zone sismique et vulnérable aux tsunamis et potentiels !
C’est le moment de rappeler ce mot de Shakespeare : « C’est le malheur du temps que les fous guident les aveugles. » Cela est encore plus vrai quand la technologie est si dangereuse.
Il aurait paraît-il dit aussi : « [...] c’est un plaisir de faire sauter l’ingénieur avec son propre pétard. ». Mais là, je ne suis pas sûr d’être d’accord avec lui : je le ferais volontiers, mais sans plaisir.