Ne prenez pas des mesures au microscope pour conclure sur les radiations émises par une centrale à l’échelle d’un continent.
Il suffit que le vent tourne, qu’il pleuve, ou qu’une nouvelle vague submerge la centrale pour que le cataclysme disperse des particules qui contamineront l’île pour des siècles.
La baisse constatée n’est hélas qu’un artéfact de mesure.