Il est normal qu’aucun organisme financé par les États ne publie d’informations susceptibles de révéler l’extrême dangerosité des munitions à l’uranium dit « appauvri ».
Le bassin méditerranéen me semble, à cette heure, beaucoup plus exposé à des contaminations provoquées par les bombardements en Libye que par celles provenant de l’accident du Japon. Non ?