Ce n’est pas Kadhafi qui a tué la révolution Libyenne, c’est le Conseil National de Transition et ses alliés la France et l’Angleterre.
A peine les jeunes « chebbabs » étaient-ils dans la rue que le CNT avait déjà crée une banque centrale et passé des contrats pour la distribution du pétrole.
Ces dernières semaines, ces « chebbabs » n’ont même plus le droit d’aller au front, il font trop de désordre leur dit-on. Nul doute qu’on ne leur demandera pas beaucoup leur avis quand le CNT aura pris le pouvoir pour une transition qui risque d’être longue.