1) DSK, jusqu’à cet incroyable scandale, faisait, de l’avis général, un bon directeur du FMI.
2) L’affaire n’a rien à voir avec le FMI, c’est une affaire d’agression sexuelle dans un hôtel, pas le viol d’une stagiaire dans des bureaux.
3) Imputer une quelconque responsabilité de Sarko dans ce fait-divers tient de l’amalgame crapoteux, nul doute que MLP reprenne d’ici peu cette pitoyable élucubration.